C’était un vrai miracle. Augusta avait fini par ne plus y croire à force de voir son fils et sa belle-fille jouer les têtes brûlées au service du Ministère.
Chaque soir, elle ravalait ses larmes d’inquiétude et priait pour que des coups sourds à la porte du Manoir ne viennent pas lui annoncer la mort de son fils ou la mort d’Alice.
Alors quand
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